Laurent Hattab Photos Valrie Subra Aujourdhui
Laurent Hattab Photos Valérie Subra Aujourd’hui – En 1984, une affaire pénale française connue sous le nom de « affaire Hattab-Sarraud-Subra » ou « affaire de l’Appât » impliquant Valérie Subra, Jean-Rémi Sarraud et Laurent Hattab jette les bases du film de Bertrand Tavernier L’Appât. Une série de meurtres odieux a été planifiée par eux trois.
Valérie Subra a 18 ans, selon les données dont nous disposons. Ses aspirations sont de devenir une figure marquante du monde de la mode et d’offrir un service exceptionnel à la clientèle du Sentier. Il se lie d’amitié avec Laurent Hattab, le génie du groupe. Cette séfarade juive est l’heureuse propriétaire d’une entreprise centrée sur les sweat-shirts. L’héritage de son père et ce travail lui confèrent une situation financière confortable. Le groupe est complété par Jean-Rémi Sarraud, zonard paumé et coutumier de petits larcins.
Les trois jeunes aspirent à atteindre la grandeur en Amérique. Les frères Pariente, fondateurs du célèbre label Naf Naf, leur servent d’exemple à suivre. Pour que Valérie puisse économiser dix millions de francs suisses et s’installer aux États-Unis, il est prévu qu’elle visite les boîtes et tente de séduire les hommes fortunés pour qu’ils l’invitent chez eux. Ses deux complices sont dévoilés par elle dès son arrivée. Une fois que la victime a perdu tout son argent, quelqu’un la tuera.
Leur première victime est un avocat de 50 ans, Gérard Le Laidier, le 7 décembre 1984. Laurent Hattab et Jean-Rémi Sarraud le tuent brutalement à coups de couteau alors que lui et Valérie Subra s’apprêtent à aller dîner chez des amis. En plus de se sentir léché, il a mal à la gorge. Tous trois n’ont qu’une maigre liasse de billets, soit 1 200 francs.
Après de multiples tentatives infructueuses avec différents hommes, Valérie est finalement invitée chez Laurent Zarade, 29 ans, propriétaire d’un établissement de prêt-à-porter dans le Sentier. Les complices de l’homme le décapitent et le poignardent avant de le tuer avec un morceau de papier enfoncé dans la poitrine. La jeune fille se cache dans une pièce et regarde une cassette du crime. Ils auront quelques bijoux, 13’000 francs suisses, une bague et une montre de marque.
Le maudit triumvirat sera appréhendé le 20 décembre 1984, après une énième tentative infructueuse. Les trois prévenus ont été condamnés à l’unanimité à la prison à vie sans possibilité de libération conditionnelle lors du procès de 1988 : Valérie Subra à 16 ans, les deux hommes à 18 ans et tous trois à l’isolement judiciaire perpétuel.
De quel point de vue peut-on évaluer la gravité de cette catastrophe ?
L’assassinat d’Ilan Halimi par la bande de barbares n’est pas sans rappeler cette histoire. Les actions criminelles dans les deux cas ont été commises rapidement pour échapper à la capture. A l’inverse, la bande barbare de bandits était crapuleuse et antisémite. La reconnaissance par le tribunal d’un motif antisémite dans le meurtre d’Ilan Halimi aurait été une amélioration significative, étant donné que le principal objectif des tortionnaires était le gain financier.
Les tentatives visant à recruter des personnalités non juives avaient auparavant échoué. Mais le stéréotype antisémite selon lequel les Juifs étaient toujours impliqués dans l’argent signifiait qu’ils persistaient à cibler les Juifs en particulier. Il n’y a aucune connotation raciale ou antisémite dans l’affaire Hattab-Sarraud-Subra. En fait, le groupe n’hésite pas à rechercher des hommes chanceux et ne prend même pas la peine de leur demander d’où ils viennent.
Puisqu’il est juif et, par voie de conséquence, extrêmement proche de son nombril, Laurent Zarade a juré de ne pas le tuer. Toutefois, Laurent Hattab ne lui pardonnera pas car l’identité de l’homme ne lui importe pas. Il serait difficile de nier que la solidarité communautaire a été gravement compromise au profit d’intérêts privés, même en l’absence d’antisémitisme. Il existe des parallèles entre le gang des barbares, qui cherchait à utiliser la solidarité du peuple juif à des fins financières, et Laurent Zarade, qui cherchait à faire appel à la sympathie d’un athée.
Les raisons pour lesquelles les criminels frappent maintenant sont des questions.
Ils ne sont ni idéologiques ni religieux. De plus, ils ne présentent pas les traits généralement associés aux tueurs en série racistes ou aux psychopathes. C’est, en toute franchise, l’aspect le plus frustrant de la situation. Les protagonistes sont émotionnellement détachés et moralement ambigus.
Pour eux, le meurtre était un tremplin vers la gloire. Les membres du groupe n’ont pas remarqué les militants politiques ou les gangsters charismatiques – les frères Pariente – qui ont fait la révolution Naf Naf. Les trois qui n’avaient jamais pratiqué la violence auparavant ont opté pour la facilité et la récompense immédiate, tandis que les derniers se sont battus pour y parvenir. Les crimes les plus odieux peuvent avoir diverses explications.
En gardant à l’esprit que la majorité des problèmes
Questions controversées. “Beauté diabolique” Valérie Subra fait l’objet d’une affaire pénale.
Les proches des victimes se souviendront toujours des années 1980 comme de la décennie de l’affaire Hattab-Sarraud-Subra, également connue sous le nom de « Appât ne fait plus la Une », et de la brutalité dont ont fait preuve ses participants. Plus tard, j’aborderai plus en détail ce sujet particulier. Incarné Valérie Subra dans le clip “L’appât” de Marie Gillian.
“Le trio infernal”, tel est le surnom qu’on leur a donné. L’affaire de 1984 qui a abouti à l’arrestation de Valérie Subra, Laurent Hattab et Jean-Rémi Sarraud concernait les meurtres de l’avocat Gérard Le Laidier, cinquante ans, et du directeur de la maison de prêt-à-porter Laurent Zarade, trente-neuf ans.
L’architecte du projet, Subra, était vraiment “l’appât” car elle a autorisé Hattab et Sarraud à approcher une clientèle fortunée afin de lui voler de grosses sommes d’argent. Les médias accordent une attention particulière au procès qui se déroule à la fin des années 1980 et impliquant les deux hommes et Subra. On suppose que cette attention préjudiciable est motivée par la « beauté diabolique » du coupable. Mais comment un adolescent sans histoire peut-il devenir un psychopathe capable de tuer ?
C’était en 1984…. Début septembre, Valérie Subra, 18 ans, rencontre deux jeunes hommes dans le quartier du Sentier à Paris. L’un d’eux est Laurent Hattab, un « fils à papa » d’un an son aîné ; les deux se sont tout de suite entendus. Un second, Jean-Rémi Sarraud, ami du premier, accompagne le couple dans leur démarche amoureuse mais se retrouve plus à l’aise au sein de leur nouveau cercle d’amis. À la fin de la vingtaine et au début de la trentaine, Valérie, Laurent et Jean-Rémi ont vu leurs ambitions américaines se réaliser. Ils rêvent de quitter Paris et de repartir loin de leur famille parce que leur vie ennuyeuse est devenue intolérable.
Valérie Subra (à “l’appât”).
Après cela, ils préparent tous les trois une série de crimes. Dans le but de traverser l’Atlantique pour un nouveau départ, Subra et ses deux amies se lancent dans une audacieuse mission de séduction pour récolter 10 millions de dollars. Son objectif n’est pas évident. Le plan est que Hattab et Sarraud hypnotisent de riches hommes d’affaires, puis les tuent à leur retour chez eux. Le 7 décembre 1984, ils exécutèrent tous les trois ce plan.
Chez lui, Laurent Hattab et Jean-Rémi Sarraud l’ont vaincu à plusieurs coups de couteau, et ils ont misé 1200 francs sur l’issue. Le 16 décembre 1984, moins de 10 jours après avoir reçu son numéro, Valérie Subra assassine Laurent Zarade, 29 ans. La collection de bijoux, la montre et les 13’000 francs suisses du butin dégagent une impression de sérieux.
Alors que Valérie, Laurent et Jean-Rémi ourdissent un nouveau complot criminel, le 20 décembre 1984, la police retrouve les carnets d’adresses de deux victimes et l’une d’elles porte le nom de Valérie Subra, une correspondance exacte. En milieu de journée, les deux complices ainsi que la jeune femme ont été interpellés.
Quatre ans plus tard, le 8 janvier 1988, devant la cour d’appel de Paris, un comparatif de l’« appât » est présenté. Valérie Subra a écopé d’une peine irréversible de 16 ans d’isolement criminel avec surveillance permanente, même si elle n’a pas obtenu la mort (elle s’était même enfuie dans une pièce adjacente pour éviter de contribuer à la mort des victimes). Ses complices purgeront également 18 ans de prison supplémentaires, soit la même peine que lui.
À la fois héroïne et méchante du passé pénal français, Valérie Subra est un personnage intrigant et horrifiant. Basée sur les expériences de la jeune femme suite à sa condamnation, l’adaptation télévisée de Bertrand Tavernier en 1995 du roman “l’Appât” de Morgan Sportès a exploré ses combats. Valérie Subra a été libérée de prison en 2001 après avoir purgé sa peine de six ans. Juste avant de partir, elle est devenue mère et a noué le mariage.
Valérie Subra, 18 ans, jongle entre ses études pour devenir esthéticienne et un emploi de vendeuse. Une vie à part, agrémentée de performances scéniques de paillettes, voilà ce dont rêve cette superbe étudiante. Chaque fois qu’elle rencontre des hommes riches, elle veille à noter soigneusement leurs coordonnées. Elle rencontre Laurent Hattab, qui l’incarnera dans un prochain rôle. La base en était “13h15 le dimanche” du 22 février.
“Devenir mannequin ou actrice, et enfin être connue dans un certain milieu, était l’objectif de Valérie Subra.” En plus, ce charmant jeune homme est descendu du bateau. Une journaliste juridique, Isabelle Dumas-Pelletier, le qualifie de généreux et passionné de conduite automobile. L’étudiant idéal serait enchanté par les nuits blanches et la douceur de vivre. C’est avec cette rencontre qu’il s’est engagé sur la voie du crime.
Dès l’âge de dix-neuf ans, Laurent Hattab devient un homme riche après avoir hérité d’une fortune et repris l’une des entreprises de son père. Les jeunes amoureux prévoient de se rendre à Deauville ce week-end, où ils feront la fête toute la nuit dans leurs élégantes boîtes de nuit. La terreur va provoquer l’effondrement du monde en 1984. Le jeune couple fait appel à l’ami du garçon pour commettre les crimes.
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