Pre De Olivier Vdrine
Père De Olivier Védrine – L’ancien ministre des Affaires étrangères Hubert Védrine s’est récemment rendu à Saint-Yrieix-sous-Aixe pour découvrir les dernières œuvres artistiques de son grand-père (Francis Chigot). Le Creux Hubert Védrine s’est arrêté à Limoges à la demande de la société régionale de généalogie, dont le président, Jean-Jacques Mauriat, habite Saint-Yrieix-sous-Aixe.
Au beau milieu d’un après-midi ensoleillé, la commune a accueilli l’ancien ministre, son épouse et leur cousine, Martine Tandeau de Marsac, qui s’est donné pour mission de faire connaître et partager l’histoire de leur ancêtre Saint-Léonard, France.
Dans les années 1950, le pasteur de l’église de la ville française de Beausoleil, l’abbé Beausoleil, a chargé le vitrailliste Francis Chigot de mettre à jour l’intérieur du bâtiment. Le premier vitrail a été réalisé après le décès du propriétaire de la boulangerie en mai 1960.
Ses ouvriers reprennent là où ils se sont arrêtés dans l’Atelier du Vitrail fraîchement rebaptisé. La minuscule église Saint-Yrieix est unique en son genre puisqu’elle abrite à la fois le dernier vitrail jamais créé par le maître et le premier de l’un de ses successeurs.
Hubert Védrine, originaire du Creusot, a remplacé Michèle Gendreau-Massaloux au poste de porte-parole présidentiel de 1988 à 1991. Les deux femmes sont originaires de la ville d’Aixe-sur-Vienne. Depuis 1981, Védrine a été conseillère diplomatique du président Mitterrand.
Il a été ministre sous le président corse Jacques Chirac de 1997 à 2002 puis a remis les clés du Quai d’Orsay à son prédécesseur une seconde fois en 2002. Il est devenu secrétaire général de l’Elysée en 1995 et a cédé le pouvoir à Dominique de Villepin, dont la mère était une limougeau.
Le méchant colonel Olrik de “Blake et Mortimer” était basé sur une personne réelle. Y a-t-il des preuves? L’ancien ministre français des Affaires étrangères Hubert Védrine et son fils Laurent ont écrit une biographie de leur père. paru cette semaine chez Fayard (232 pages, 20 €) : Olrik : La biographie non autorisée.
Le fait qu’Olrik “ait vraiment existé” apporte du réconfort aux deux gars, inséparables sur les BD de France et de Belgique et passionnés par la “ligne droite”. L’ancien ministre des affaires étrangères avait déjà eu l’occasion de démontrer son expertise sur le travail d’Edgar P. Jacobs dans un documentaire sur Blake et Mortimer réalisé par Francis Gillery et sorti il y a 15 ans.
Olrik et Jacobs ont formé un “faux pacte”, selon le livre d’Hubert et Laurent Védrine. Il est hautement improbable que la phrase soit sortie de nulle part. Avant de décider de poursuivre l’art, Jacobs voulait être chanteur d’opéra. Dans son autobiographie Mémoires : un opéra de papier (Gallimard, 1981), il se souvient avoir eu cette prise de conscience en voyant une représentation de Faust de Charles Gounod lorsqu’il avait 13 ans.
La couverture de l’excellente biographie d’Edgar P. Jacobs écrite par François Rivière et Benoît Mouchart est une représentation du diable (avec la tête d’Olrik !) serrant Faust dans ses bras après qu’il ait exécuté un “miroit du M” de “La marque jaune”.
Jacobs a vécu sa carrière d’auteur de BD comme une punition contrairement à sa vocation de chanteur lyrique. de l’autre côté d’une porte verrouillée). Olrik défie Jacobs à un combat dans l’une des aventures de Blake et Mortimer.
Né le 31 juillet 1947 à Saint-Silvain-Bellegarde, en France, Hubert Védrine est un homme politique et diplomate socialiste. Il est allé à Sciences Po, une université parisienne, avant de s’inscrire à l’ENA.
Après avoir quitté l’ENA en 1974 (sous les encouragements de Simone Weil), il travaille d’abord au ministère de la Culture, puis au ministère de l’Environnement, et enfin au ministère des Affaires étrangères. Dans le même ordre d’idées, il mime le forum « Échanges et Projets » de Jacques Delors.
Hubert et Laurent Védrine sont les invités d’Antoine de Caunes et Charline Roux le jour de la sortie du Blu-ray de “Olrik : la biographie non officielle”. A la fin de l’émission, Renan Cros, notre correspondant pop culture, nous rejoindra à nouveau pour parler jeux vidéo.
Si la sombre création d’Edgar P.
Jacobs, l’aventurier intrépide prototype, était-il en réalité un criminel masqué ? Sur ce titre, Hubert et Laurent Védrine ont minutieusement recréé les exploits d’Olrik au XXe siècle.
En 1981, Mitterrand est nommé pour la première fois à la présidence. Il a travaillé pour un diplomate pendant sept ans en tant que consultant avant d’emménager avec sa femme au cours de la première décennie de leur mariage.
Il a été élevé au poste d’attaché de presse présidentiel en 1988. Il a été secrétaire général de la présidence française à partir de 1991 et se terminant en mai 1995, lorsque François Mitterrand a démissionné. Il a rejoint Jeantet & Associés après son retour au Conseil d’Etat. Il collabore souvent à la rubrique “Étranger” du Point aux côtés de Claude Allègre (rubrique “Science”).
Chirac a nommé Jospin ministre des Affaires étrangères sur la recommandation de Jospin le 4 juin 1997, après que la gauche a remporté une deuxième élection consécutive et que le gouvernement a été dissous. Ce ne sera qu’en 2005, en mai 2002. Ce fut particulièrement vrai pendant la guerre du Kosovo de 1998-1999.
Il a coprésidé l’effort diplomatique raté pour résoudre la question du Kosovo lors de la conférence de Rambouillet avec le ministre britannique des Affaires étrangères Robin Cook. Pendant ce temps, le terme « hyperpuissance » est également défini et établi comme une manière de caractériser les États-Unis. La gauche comme la droite ont applaudi l’arrivée d’Hubert Védrine sur le Quai d’Orsay. Jacques Chirac réfléchira ainsi sur sa vie et son époque :
Hubert Védrine a démissionné de son ministère après la défaite de Lionel Jospin à l’élection présidentielle de 2002. En 2003, il crée Hubert Védrine Conseil en tant que cabinet de conseil en stratégie globale. Il dirige l’Institut François-Mitterrand en tant que président depuis 2003. Et il est membre du club le plus fermé du siècle, Le Siècle.
En 2004, à l’approche des élections régionales, il est proposé comme tête de liste du Limousin par les candidats à l’élection présidentielle de l’époque, Robert Savy et François Hollande, mais il se retire finalement faute de soutien des socialistes locaux.
Il est PDG de Bernard Arnault au sein du conglomérat LVMH depuis 2005. Depuis juin 2006, Hubert Védrine siège également aux conseils consultatifs de l’Institut Aspen France et de l’Institut des relations internationales et stratégiques (IRIS).
En 2005, il a été nommé au Haut Conseil de l’Alliance des civilisations par le secrétaire général de l’ONU, Kofi Annan. En 2007, il participe à l’organisation de la Conférence de Paris sur le changement climatique aux côtés de Nicolas Hulot, Il devrait être le choix de Nicolas Sarkozy pour le poste de ministre des affaires étrangères.
Cette représentation de la politique française au Rwanda jusqu’en 19947,8 est contestée et catégoriquement rejetée par Édouard Balladur, Alain Juppé et Hubert Védrine. Le 28 novembre 2007, un groupe de citoyens du monde alternatif a aspergé Védrine à la peinture rouge en plein jour, réclamant son extradition afin qu’il soit puni « pour sa responsabilité dans la politique française d’aide à la préparation et à l’exécution de la campagne génocidaire contre le Tutsi au Rwanda.” Hubert Védrine a porté plainte pour violences après cet incident lors d’une réunion du personnel.
Le rôle de la France dans le génocide des Tutsi au Rwanda est un sujet âprement disputé, et Hubert Védrine est au centre de la discussion. En tant que secrétaire général de l’Élysée, il a accès à tous les dossiers nécessaires pour reconstituer ce qui s’est passé sous le régime de Juvénal Habyarimana de 1990 à 1994, ainsi que ce qui s’est passé après l’assassinat de Habyarimana le 7 avril. Après cela, le gouvernement insurgé a commis un génocide.
En raison de la mauvaise santé de François Mitterrand à l’époque, Hubert Védrine est souvent cité comme un facteur clé dans l’orientation de la politique du gouvernement français envers le Rwanda. Lorsque la décision de lancer des opérations militaires au Rwanda était discutée, il était présent à toutes les réunions secrètes.
Il s’est exprimé à plusieurs reprises sur la question, d’abord devant une mission d’information parlementaire conduite par Paul Quilès puis devant les médias. L’idée que la France ait été impliquée dans le génocide rwandais de 1994 contre les Tutsi est une chose avec laquelle il est fortement en désaccord.
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