Sylvie Retailleau Conjoint

Publish date: 2024-07-11

Sylvie Retailleau Conjoint – La ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Sylvie Retailleau, a été nommée. Née en 1965, titulaire d’un DEA de microélectronique et d’une agrégation de sciences physiques appliquées, elle a été maître de conférence, professeur et doyenne de la faculté des sciences de l’université Paris-Sud.

Elle a également été directrice du GIP CNFM, le programme de formation en microélectronique de Paris-Sud. L’Université Paris-Saclay l’a nommée présidente en 2020. Ses études se sont concentrées sur la détermination de la viabilité de nouvelles architectures ou concepts de composants en gardant un œil sur les futures générations de circuits intégrés.

Dernières nouvelles du Who’s Who concernant Sylvie Retailleau

La nouvelle présidente de l’Université Paris-Saclay est Sylvie Retailleau. Sylvie Retailleau a débuté sa carrière comme maître de conférences à l’Université Paris-Sud en 1992. Elle est titulaire d’un DEA en microélectronique et d’un Agrégé de physiologie appliquée. Ses travaux sur « l’évaluation des potentialités de nouveaux concepts ou de nouvelles architectures de composants en vue des futures générations de circuits intégrés » sont en cours depuis un certain temps et elle a auparavant été directrice du pôle microélectronique de Paris-Sud à Centre national de formation électrique.

Elle avait été présidente de la ComUE Université Paris-Saclay en 2019. La création de l’École nationale supérieure d’architecture (ENSA) à La Réunion a été annoncée par la ministre de la Culture Rima Abdul Malak, la ministre de l’Hochschulbildung et de la Forschung Sylvie Retailleau et le ministre Philippe Vigier, chargée des affaires internationales, le mardi 27 septembre 2023, à l’occasion de la présentation du plan budgétaire de son ministère pour l’année 2024.

Cet établissement d’enseignement supérieur deviendra la 21ème ENSA jusqu’en 2025. Elle a été fondée il y a 35 ans avec le soutien des collectivités territoriales de La Réunion, notamment les Départementrats de La Réunion sous la forme d’un service extérieur de l’École nationale supérieure d’architecture de Montpellier. . Ce sera la première école d’architecture à être implantée dans une division ultra-marine.

Parallèlement à ce développement tendanciel, l’école déménagera en 2026 dans de nouveaux locaux qui s’inscrivent dans le cadre d’un partenariat entre l’État, le conseil régional de La Réunion, la Hafengemeinde et l’Interkommunalen Territorium der Westküste. Une réalisation écologique et pionnière en matière de gestion de l’énergie sera le projet pour lequel l’architecte Olivier Brabant a été engagé.

L’école d’architecture de La Réunion offre à ses étudiants et à ses pensionnaires un soutien pour le développement de l’environnement et de l’énergie. L’architecte est un organisme local, régional et national pour une expertise en matière d’architecture, de gestion urbaine et territoriale dans les régions tropicales.

A l’occasion de son congé sabbatique, le ministre a souligné l’importance de la coopération scientifique et pédagogique que l’école d’architecture doit entretenir et développer avec l’ensemble de ses partenaires.

L’école d’architecture de La Réunion a élargi son rayonnement mondial dans le cadre de sa participation au développement de son territoire par sa proximité avec les différents acteurs élus et professionnels du projet immobilier. Elle a pu entretenir des liens pédagogiques et scientifiques avec l’Australie, l’Afrique du Sud, le Mozambique et l’Inde pendant plusieurs années grâce à l’orientation indo-océanique de l’école.

Enfin, Sylvie Retailleau, Rima Abdul Malak et Philippe Vigier ont salué les représentants choisis de la Réunion pour leur engagement profond et permanent dans la création de l’École nationale supérieure d’architecture de La Réunion. Lors de sa tournée en Thaïlande, Sylvie Retailleau, la ministre française de l’enseignement supérieur et de la recherche, a accordé une interview au petitjournal.com sur la coopération bilatérale.

La ministre française de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Madame Sylvie Retailleau, a rencontré de nombreuses personnalités françaises et thaïlandaises des communautés scientifiques et universitaires à Bangkok et Chiang Mai lors de sa récente visite en Thaïlande les 20 et 21 octobre et a signé de multiples accords de coopération bilatérale.

A son arrivée, vendredi 20 octobre, la ministre française a été accueillie par son homologue thaïlandais, Supamas Isarabhakdi, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Science, de la Recherche et de l’Innovation, avec qui elle est associée de longue date.

Par la suite, les deux ministres ont signé une déclaration d’intention de coopération dans les domaines de l’enseignement supérieur, de la science, de la recherche et de l’innovation, qui devrait notamment permettre l’accueil de nouveaux doctorats thaïlandais en France.

Sylvie Retailleau Conjoint

Par la suite, la ministre a visité l’Alliance française à Bangkok et la Résidence française, où elle a eu l’occasion d’échanger avec divers acteurs français et thaïlandais de la recherche et des affaires. Sylvie Retailleau a visité l’Institut Asiatique de Technologie (AIT), dont la France est partie, le 21 octobre, accompagné d’une délégation française qui comprenait notamment l’ambassadeur de France en Thaïlande, Jean-Claude Poimboeuf.

A cette occasion, des représentants de l’AIT ont également signé un protocole d’accord avec le Centre français de recherches agronomiques pour le développement international (CIRAD), ouvrant ainsi un nouveau chapitre dans la relation bilatérale. Les domaines communs de recherche et d’enseignement des deux universités seront au centre de cet accord qui vise à établir un cadre de coopération propice au montage de projets dans ces domaines.

Le ministre français et sa délégation se sont ensuite rendus à Chiang Mai pour une réunion de travail avec vingt-cinq représentants et chercheurs de l’Université de Chiang Mai (CMU) au North Thailand Science Park, un complexe sur le campus qui vise à promouvoir la recherche, le développement et l’innovation. dans les domaines des sciences et des technologies et comprend entre autres un incubateur de start-up.

Sylvie Retailleau, elle-même chercheuse et présidente de l’Université Paris-Sud (aujourd’hui Université Paris-Saclay) jusqu’à sa nomination à le gouvernement a présidé l’année dernière à la signature d’un nouvel accord-cadre de coopération scientifique entre la CMU et l’Institut de recherche pour le développement (IRD).

Cet accord, signé par le représentant de l’IRD en Thaïlande, Xavier Mari, et la vice-présidente de la CMU, Winita Punyodom, vise à définir les paramètres de la coopération et de l’échange d’informations, de la promotion et du suivi des activités de recherche, de formation et de conseil entre les deux établissements. Il se concentre particulièrement sur des domaines tels que les sciences de la santé (One Health), les sciences de l’environnement (mesure de la télédiversité) et les sciences sociales (pollution de l’air).

Malgré son emploi du temps chargé pour cette visite, la ministre a accordé une interview au petitjournal.com dans laquelle elle souligne l’importance de renforcer et de structurer la coopération scientifique bilatérale avec les pays de l’Indo-Pacifique comme la Thaïlande, à l’heure où la France, comme le reste de l’humanité, doivent faire face à de nombreux défis communs, notamment le changement climatique.

: Lepetitjournal.com Vous avez visité une bonne partie du milieu franco-thaïlandais de l’enseignement supérieur et de la recherche pendant ces deux jours de marathon entre Bangkok et Chiang Mai. Quelles impressions-vous tirées de ces rencontres?

Rencontrez Sylvie Retailleau : D’abord, on retrouve une histoire ancienne entre la France et la Thaïlande. Il existe des partenariats qui existent depuis longtemps avec différents acteurs. Il y avait des projets communs et une réelle volonté de les renforcer et de continuer à les poursuivre, quel que soit l’endroit où je me trouvais. Cela s’est manifesté dès le début lorsque je travaillais avec mon homologue, le ministre Supamas Isarabhakdi.

De par son histoire personnelle [sa mère a travaillé 25 ans au service économique de l’ambassade de France, ndlr] et sa connaissance de nos projets communs sur les trois piliers de la recherche, de la formation et de l’innovation, je crois qu’elle est animée par une volonté sincère. désir de renforcer les collaborations. Elle souhaite clairement renforcer les échanges, accroître la mobilité et faire de la France l’un des pays où les étudiants thaïlandais peuvent le plus fortement postuler pour étudier, et vice versa.

Il semble y avoir une forte conscience partagée de la pertinence de cette chaîne au niveau du lien innovation-industrialisation, du transfert entre le monde universitaire et les industries. On dirait qu’elle est déterminée à développer cette vision de partage, et je pense que nous sommes tous les deux sur la même voie, confrontés aux mêmes problèmes.

Nous avons des thématiques prioritaires communes : le développement durable, l’environnement, le changement climatique, ou encore les sciences sociales et humaines, qui ont occupé une place importante dans les échanges.

On a plus, on perçoit une forte conscience commune de l’importance de ce chaînon au niveau du lien innovation-industrialisation, du transfert entre académies et industries. Afin de nourrir et développer des industries particulières, nous partageons l’objectif de valoriser la recherche et l’éducation. Les collèges et les entreprises partagent une dynamique et une vision réelle. Cette perspective du transfert technologique et ce rapprochement entre le secteur public et le secteur privé constitue le fondement de l’innovation cette année. Langue français-thaï

Au cœur de cette année de l’innovation en France et en Thaïlande se trouve cette notion de transfert de technologie, ce rapprochement public-privé. Cela nous permet de garantir que les produits de la recherche sont valorisés pour la société. Je pense que nous nous sommes retrouvés là-haut.Physicienne, Sylvie Retailleau est née Sylvie Galdin à Nice le 24 février 1965. Elle obtient sa licence de physique appliquée en 1988 et sa maîtrise en 1992 à l’ENS de Cachan où elle fait ses études de premier cycle.

Débutant sa carrière à l’Institut d’électronique fondamentale (IEF) de Paris-Sud/CNRS, Sylvie Retailleau est chercheuse. Suite à sa thèse, elle devient professeur à l’Université Paris-Sud (Paris-Saclay). Elle a ensuite été vice-présidente du département des sciences physiques à la Faculté des sciences d’Orsay de 2007 à 2008. Entre 2008 et 2011, Sylvie Retailleau a exercé les fonctions de vice-doyenne chargée des formations, et de 2011 à 2016, elle a été doyenne de la faculté. L’Université Paris-Saclay a élu sa présidente en 2020.

Suite à sa nomination au sein du gouvernement, le parcours universitaire d’Élisabeth Borne, essentiellement axé sur la recherche, prend une nouvelle dimension. Le Premier ministre l’a nommée pour succéder à Frédérique Vidal au poste de ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche le 20 mai 2022. La réforme du système des bourses attribuées selon les critères sociaux est sa priorité. Bruno Retailleau est sénateur du parti Les Républicains, même si Sylvie n’a aucun lien parental avec lui.

ncG1vNJzZmiblaGyo77Em6Oon16bv3C%2F2KWtop1dp7K1rcilo56ZpWKwsLrJqKCnrF8%3D